Jean-Marie Biwer
25 Oct - 08 Dec 2007
Jean-Marie Biwer
JEAN-MARIE BIWER
"Silent Paintings"
25.10.2007-08.12.2007
Vernissage, le jeudi 25 octobre à 18 hrs
La galerie Nosbaum & Reding a le plaisir de présenter l’exposition intitulée Silent Paintings de récentes peintures de l’artiste Jean-Marie Biwer (né en 1957 à Dudelange et vivant et travaillant au Luxembourg).
Durant les deux à trois dernières années, le travail de Jean-Marie Biwer s’est progressivement focalisé sur la question essentielle inhérente à la peinture, le rapport de l’image au contenu, à sa signification. Loin des gestes expressifs, Jean-Marie Biwer se concentre avec un minimum de moyens sur les motifs simples qui à eux seuls arrivent à refléter aussi bien l’histoire de la peinture que les motivations profondes de l’artiste ; on sent aussi bien la pénétration métaphysique des objets que leur objectivité insaisissable, le tout, motivé par l’inconditionnelle soif de l’image véridique. Intérieurs de maison, nature morte, paysages reflétant des ambiances faussement idylliques, ils sont peints dans le soin absolu du détail sans jamais tomber dans la description pure et simple. Les perspectives peuvent changer d’objet en objet, même les proportions entre elles semblent définies par des hiérarchies impénétrables. Cette juxtaposition d’élément concret qui n’est pas sans nous faire penser à Giorgio Morandi, nous dévoile une réalité à la fois toute proche et très éloignée de celle du quotidien.
JEAN-MARIE BIWER
"Silent Paintings"
25.10.2007-08.12.2007
Vernissage, le jeudi 25 octobre à 18 hrs
La galerie Nosbaum & Reding a le plaisir de présenter l’exposition intitulée Silent Paintings de récentes peintures de l’artiste Jean-Marie Biwer (né en 1957 à Dudelange et vivant et travaillant au Luxembourg).
Durant les deux à trois dernières années, le travail de Jean-Marie Biwer s’est progressivement focalisé sur la question essentielle inhérente à la peinture, le rapport de l’image au contenu, à sa signification. Loin des gestes expressifs, Jean-Marie Biwer se concentre avec un minimum de moyens sur les motifs simples qui à eux seuls arrivent à refléter aussi bien l’histoire de la peinture que les motivations profondes de l’artiste ; on sent aussi bien la pénétration métaphysique des objets que leur objectivité insaisissable, le tout, motivé par l’inconditionnelle soif de l’image véridique. Intérieurs de maison, nature morte, paysages reflétant des ambiances faussement idylliques, ils sont peints dans le soin absolu du détail sans jamais tomber dans la description pure et simple. Les perspectives peuvent changer d’objet en objet, même les proportions entre elles semblent définies par des hiérarchies impénétrables. Cette juxtaposition d’élément concret qui n’est pas sans nous faire penser à Giorgio Morandi, nous dévoile une réalité à la fois toute proche et très éloignée de celle du quotidien.