Andrew Mania
16 May - 20 Jun 2009
ANDREW MANIA
"New Work"
Andrew Mania se qualifie lui-même de « collectionneur de curiosité ». Dessins figuratifs, bibelots, sculptures, photographies, vidéos et long-métrages façonnent ses oeuvres et ses installations.
Andrew Mania aime s’approprier et réinterpréter des objets et des images trouvés, du dessin ancien à la photographie vintage, en associant ces éléments rapportés à ses propres obsessions – le Yeti, les motifs abstraits, les tissus géométriques. La relation de Mania à l’histoire de l’art apparaît à la fois nostalgique, romantique et irrévérencieuse, jusqu’à projeter dans notre réalité les codes esthétiques de la sculpture antique.
Deux évènements marquants influencent son travail depuis ses débuts, références que l’on retrouve dans la plupart des textes qui lui sont consacrés : la fuite de sa mère de Russie durant la seconde guerre mondiale et sa rencontre avec le Yéti – et la façon dont son père – un parachutiste allemand – a aidé Mussolini à s’échapper de sa prison dans les Alpes. Son travail très personnel est construit autour de ces origines personnelles qui l’inspirent dans ses peintures, sculptures et installations.
À travers ses œuvres, Andrew Mania revisite, interroge, fusionne les mythes autour de sa famille, qui se confondent avec le réel dans des compositions subtiles et fantastiques.
Andrew Mania est né à Bristol en 1974. Diplômé du Chelsea College of art en 1999, il a exposé à la Galerie Diane Stigter, Amsterdam (2009); Vilma Gold Gallery, London (2006); Chisenhale Gallery, London (2005); Jack Hanley Gallery, San Francisco (2005), et John Connelly Presents, New York (2005). Andrew Mania a précédemment participé aux expositions collectives « 4 Artists » et « Featuring » à la Galerie Chez Valentin.
"New Work"
Andrew Mania se qualifie lui-même de « collectionneur de curiosité ». Dessins figuratifs, bibelots, sculptures, photographies, vidéos et long-métrages façonnent ses oeuvres et ses installations.
Andrew Mania aime s’approprier et réinterpréter des objets et des images trouvés, du dessin ancien à la photographie vintage, en associant ces éléments rapportés à ses propres obsessions – le Yeti, les motifs abstraits, les tissus géométriques. La relation de Mania à l’histoire de l’art apparaît à la fois nostalgique, romantique et irrévérencieuse, jusqu’à projeter dans notre réalité les codes esthétiques de la sculpture antique.
Deux évènements marquants influencent son travail depuis ses débuts, références que l’on retrouve dans la plupart des textes qui lui sont consacrés : la fuite de sa mère de Russie durant la seconde guerre mondiale et sa rencontre avec le Yéti – et la façon dont son père – un parachutiste allemand – a aidé Mussolini à s’échapper de sa prison dans les Alpes. Son travail très personnel est construit autour de ces origines personnelles qui l’inspirent dans ses peintures, sculptures et installations.
À travers ses œuvres, Andrew Mania revisite, interroge, fusionne les mythes autour de sa famille, qui se confondent avec le réel dans des compositions subtiles et fantastiques.
Andrew Mania est né à Bristol en 1974. Diplômé du Chelsea College of art en 1999, il a exposé à la Galerie Diane Stigter, Amsterdam (2009); Vilma Gold Gallery, London (2006); Chisenhale Gallery, London (2005); Jack Hanley Gallery, San Francisco (2005), et John Connelly Presents, New York (2005). Andrew Mania a précédemment participé aux expositions collectives « 4 Artists » et « Featuring » à la Galerie Chez Valentin.