Récits anamorphiques
19 Mar - 22 May 2011
© Marie-Ange Guilleminot
L'Oursin, Atelier Calder, Saché, 2000
Extrait de la vidéo, image Guillaume Blanc
L'Oursin, Atelier Calder, Saché, 2000
Extrait de la vidéo, image Guillaume Blanc
RÉCITS ANAMORPHIQUES
Pierre Ardouvin, Julien Audebert, Lætitia Benat, Ulla von Brandenburg, Anne Brégeaut, Gérard Byrne, Melanie Counsell, Anna Gaskell, Ion Grigorescu, Marie-Ange Guilleminot, Lothar Hempel, Edi Hila, William Hunt, Torsten Lauschmann, Maria Loboda
19.03 au 22.05.2011
L’anamorphose consiste à déformer une image jusqu’à la rendre méconnaissable à première vue. Regardée d’un autre point de vue, elle devient lisible et prend sens. Cet artifice utilisé notamment par les peintres de la Renaissance aux tableaux riches d’allégories et de métaphores, exerce une fascination qui réside dans le mystère même du procédé.
L’exposition revient sur cette histoire fascinante d’oeuvres aux sens doubles, codés, masqués, aux récits fantômes qu’il faut révéler, aux procédés de déformation, de dissimulation mais aussi d’apparition. Elle s’attache à entrevoir l’anamorphose comme déclencheur de confusion entre la réalité et la fiction, comme l’instant où la forme apparaît pour disparaître... un espace où se matérialise la pensée.
Pierre Ardouvin, Julien Audebert, Lætitia Benat, Ulla von Brandenburg, Anne Brégeaut, Gérard Byrne, Melanie Counsell, Anna Gaskell, Ion Grigorescu, Marie-Ange Guilleminot, Lothar Hempel, Edi Hila, William Hunt, Torsten Lauschmann, Maria Loboda
19.03 au 22.05.2011
L’anamorphose consiste à déformer une image jusqu’à la rendre méconnaissable à première vue. Regardée d’un autre point de vue, elle devient lisible et prend sens. Cet artifice utilisé notamment par les peintres de la Renaissance aux tableaux riches d’allégories et de métaphores, exerce une fascination qui réside dans le mystère même du procédé.
L’exposition revient sur cette histoire fascinante d’oeuvres aux sens doubles, codés, masqués, aux récits fantômes qu’il faut révéler, aux procédés de déformation, de dissimulation mais aussi d’apparition. Elle s’attache à entrevoir l’anamorphose comme déclencheur de confusion entre la réalité et la fiction, comme l’instant où la forme apparaît pour disparaître... un espace où se matérialise la pensée.