Marie Bovo
La Danse de l’ours
21 Mar - 13 Jun 2015
Marie Bovo, Alger 22h05, 9 novembre 2013, Photographie, 150 x 120 cm, © Photo. Marie Bovo, Courtesy the artist and Kamel Mennour, Paris
Marie Bovo, Jours blancs 01H29, 2012, Tirage ilfochrome marouflé sur aluminium et encadré / Framed Ilfochrome print glued on aluminium, 130 x 162 cm, © Marie Bovo, Courtesy the artist and kamel mennour, Paris
MARIE BOVO
La Danse de l’ours
21 mars — 13 juin 2015
Commissariat: Pascal Neveux
En partenariat avec les galeries kamel mennour, Paris et OSL contemporary, Oslo — Avec le soutien du centre national des arts plastiques (CNAP).
Le Frac bénéficie du soutien Domaine de la Solitude, grand vin de Châteauneuf-du-Pape
Un ours danse enchaîné dans une cage à Mychkine (ville de Russie), tandis que des vêtements, des objets, des tapis décrivent les mouvements énigmatiques d’un campement de Roms à Marseille.
L’espace est violent. Cela tient à ce que les photographies, les films qui composent l’exposition montrent toujours des espaces entrechoqués. Les traversées photographiques de Marie Bovo narrent des « histoires d’ailleurs », proches et lointaines qui semblent échapper à la mondialisation des flux et des échanges. Cette juste distance, bien peu sont parvenus à la trouver, ni trop loin, ni trop proche, toute l’œuvre photographique et vidéo de Marie Bovo peut se lire comme une pensée de l’altérité où le voyage ne souffre d’aucun désir d’exotisme mais résonne comme une véritable expérience de vie.
La Danse de l’ours
21 mars — 13 juin 2015
Commissariat: Pascal Neveux
En partenariat avec les galeries kamel mennour, Paris et OSL contemporary, Oslo — Avec le soutien du centre national des arts plastiques (CNAP).
Le Frac bénéficie du soutien Domaine de la Solitude, grand vin de Châteauneuf-du-Pape
Un ours danse enchaîné dans une cage à Mychkine (ville de Russie), tandis que des vêtements, des objets, des tapis décrivent les mouvements énigmatiques d’un campement de Roms à Marseille.
L’espace est violent. Cela tient à ce que les photographies, les films qui composent l’exposition montrent toujours des espaces entrechoqués. Les traversées photographiques de Marie Bovo narrent des « histoires d’ailleurs », proches et lointaines qui semblent échapper à la mondialisation des flux et des échanges. Cette juste distance, bien peu sont parvenus à la trouver, ni trop loin, ni trop proche, toute l’œuvre photographique et vidéo de Marie Bovo peut se lire comme une pensée de l’altérité où le voyage ne souffre d’aucun désir d’exotisme mais résonne comme une véritable expérience de vie.