Felice Varini
01 Jun - 16 Sep 2007
Felice Varini, quatorze triangles
1er Juin - 16 Septembre 2007
En résonance à l’exposition « Pavillon Seroussi, architectures de collectionneur », la maison rouge a invité l’artiste Felice Varini (Locarno, 1952 – vit et travaille à Paris) à intervenir dans la « salle haute » de la fondation.
Pour l’élaboration de chacun de ses projets, Felice Varini s’appuie sur une analyse du lieu (son architecture, ses matériaux, son histoire, sa fonction) qui est le support de sa peinture. A partir de ses données il définit un point de vue autour duquel son intervention prend forme.
Le point de vue va fonctionner comme un point de lecture, et un point de départ à l'approche de la peinture et de l'espace. La forme peinte est une anamorphose qui devient cohérente quand le spectateur est situé au point de vue. Lorsqu’il en sort le travail rencontre l'espace qui engendre une infinité de points de vue sur la forme.
L'œuvre résulte de cet ensemble de points de vue que le spectateur peut avoir sur elle. « Je pars d'une situation réelle pour construire ma peinture. Cette réalité n'est jamais altérée, effacée ou modifiée, elle m'intéresse et elle m'attire dans toute sa complexité. Ma pratique est de travailler "ici et maintenant". » Felice Varini
1er Juin - 16 Septembre 2007
En résonance à l’exposition « Pavillon Seroussi, architectures de collectionneur », la maison rouge a invité l’artiste Felice Varini (Locarno, 1952 – vit et travaille à Paris) à intervenir dans la « salle haute » de la fondation.
Pour l’élaboration de chacun de ses projets, Felice Varini s’appuie sur une analyse du lieu (son architecture, ses matériaux, son histoire, sa fonction) qui est le support de sa peinture. A partir de ses données il définit un point de vue autour duquel son intervention prend forme.
Le point de vue va fonctionner comme un point de lecture, et un point de départ à l'approche de la peinture et de l'espace. La forme peinte est une anamorphose qui devient cohérente quand le spectateur est situé au point de vue. Lorsqu’il en sort le travail rencontre l'espace qui engendre une infinité de points de vue sur la forme.
L'œuvre résulte de cet ensemble de points de vue que le spectateur peut avoir sur elle. « Je pars d'une situation réelle pour construire ma peinture. Cette réalité n'est jamais altérée, effacée ou modifiée, elle m'intéresse et elle m'attire dans toute sa complexité. Ma pratique est de travailler "ici et maintenant". » Felice Varini