Antoine Catala
17 Apr - 12 Jul 2015
ANTOINE CATALA
17 Avril - 12 Juillet 2015
Première exposition personnelle en France
Né en 1975 à Toulouse (France), Antoine Catala vit et travaille à New York (États-Unis).
Qu’il s’agisse de ses vidéos-sculptures ou de ses mots d’esprits, Antoine Catala joue avec les imperfections du langage, la physicalité des images et leur caractère tactile, utilise l’accident et la technologie, l’hologramme, l’imprimante 3D ou le morphing.
Ses oeuvres mettent en relation toutes les images, les extensions, les mots de langage, les signes, les logos, les atmosphères. La télévision et internet sont parmi les sources d’inspiration du travail d’Antoine Catala, qui en reproduit les mécanismes en les détournant à des fins poétiques. Délibérément, l’artiste y trouve de nouvelles possibilités de lier le réel, l’image et le langage.
Antoine Catala poursuit son travail sur les signes visuels et transforme un étage entier du musée avec l'installation Jardin synthétique à l’isolement (2014-2015), produite et acquise par le macLYON.
17 Avril - 12 Juillet 2015
Première exposition personnelle en France
Né en 1975 à Toulouse (France), Antoine Catala vit et travaille à New York (États-Unis).
Qu’il s’agisse de ses vidéos-sculptures ou de ses mots d’esprits, Antoine Catala joue avec les imperfections du langage, la physicalité des images et leur caractère tactile, utilise l’accident et la technologie, l’hologramme, l’imprimante 3D ou le morphing.
Ses oeuvres mettent en relation toutes les images, les extensions, les mots de langage, les signes, les logos, les atmosphères. La télévision et internet sont parmi les sources d’inspiration du travail d’Antoine Catala, qui en reproduit les mécanismes en les détournant à des fins poétiques. Délibérément, l’artiste y trouve de nouvelles possibilités de lier le réel, l’image et le langage.
Antoine Catala poursuit son travail sur les signes visuels et transforme un étage entier du musée avec l'installation Jardin synthétique à l’isolement (2014-2015), produite et acquise par le macLYON.