Painting Spirit #1
01 Jul - 12 Aug 2017
PAINTING SPIRIT #1
1 July - 12 August 2017
« Painting Spirit #1 » réunit quatorze jeunes artistes en provenance de Paris, Bruxelles, Berlin, Nantes et Douarnenez, quatorze profils qui explorent les multiples facettes d’une abstraction picturale en perpétuel redéploiement. Des aplats rougeoyants et flamboyants d’une Flora Moscovici aux exercices post Bram van Veldiens d’un Corentin Canesson ou d’un Michael Debatty, l’exposition de Zoo galerie tente de mettre en lumière les préoccupations d’une jeune scène naviguant entre la pointe extrême du Finistère et les confins orientaux de l’Europe. Aucune volonté de dresser un inventaire critique ou de déceler de nouveaux mouvements de fond : il s’agit plus d’une réunion générée par la juxtaposition d’approches tangentielles du monochrome (Simon Collet, Vincent Ganivet), la réinscription du signe (Samuel Richardot), la réinvention radicale de l’autoportrait (Marcel Devillers) ou bien encore le frôlement de la figuration (Lauren Coullard) mais aussi de s’affranchir du cadre habituel de la peinture pour coloniser de nouveaux supports sans toutefois revenir aux déconstructions des mouvements historiques tel Supports/Surfaces (Yoan Sorin, Jonas Locht) et de remiser les pinceaux pour leur préférer les aiguilles de la machine à coudre (Erwan Mahéo).
1 July - 12 August 2017
« Painting Spirit #1 » réunit quatorze jeunes artistes en provenance de Paris, Bruxelles, Berlin, Nantes et Douarnenez, quatorze profils qui explorent les multiples facettes d’une abstraction picturale en perpétuel redéploiement. Des aplats rougeoyants et flamboyants d’une Flora Moscovici aux exercices post Bram van Veldiens d’un Corentin Canesson ou d’un Michael Debatty, l’exposition de Zoo galerie tente de mettre en lumière les préoccupations d’une jeune scène naviguant entre la pointe extrême du Finistère et les confins orientaux de l’Europe. Aucune volonté de dresser un inventaire critique ou de déceler de nouveaux mouvements de fond : il s’agit plus d’une réunion générée par la juxtaposition d’approches tangentielles du monochrome (Simon Collet, Vincent Ganivet), la réinscription du signe (Samuel Richardot), la réinvention radicale de l’autoportrait (Marcel Devillers) ou bien encore le frôlement de la figuration (Lauren Coullard) mais aussi de s’affranchir du cadre habituel de la peinture pour coloniser de nouveaux supports sans toutefois revenir aux déconstructions des mouvements historiques tel Supports/Surfaces (Yoan Sorin, Jonas Locht) et de remiser les pinceaux pour leur préférer les aiguilles de la machine à coudre (Erwan Mahéo).